Parole d'experts :
les déchets nucléaires, parlons-en !
Comme le soulignent les enquêtes d’opinion, le nucléaire revient au-devant de la scène en tant qu’énergie bas carbone, produite en continu et favorable à notre souveraineté énergétique. Seulement, la gestion des déchets radioactifs reste encore méconnue et régulièrement une source d’interrogations et de critiques dans l’opinion publique.
Et pourtant, on s’en occupe depuis toujours. Conditionnés, stockés, surveillés, ils font l’objet de tous les soins. Le modèle français fait même figure de référence dans le monde !
Pour en parler, on retrouve Frédérique Hourcade, Directrice Technique et Innovation chez Orano qui participe avec ses équipes au développement de solutions toujours plus optimisées et performantes dans la gestion des déchets pour le groupe.
Et Virginie Wasselin, Chef du service stratégie filières à l’Andra, agence nationale qui a pour mission de gérer à long terme les déchets radioactifs produits en France.
Et pourtant, on s’en occupe depuis toujours. Conditionnés, stockés, surveillés, ils font l’objet de tous les soins. Le modèle français fait même figure de référence dans le monde !
Pour en parler, on retrouve Frédérique Hourcade, Directrice Technique et Innovation chez Orano qui participe avec ses équipes au développement de solutions toujours plus optimisées et performantes dans la gestion des déchets pour le groupe.
Et Virginie Wasselin, Chef du service stratégie filières à l’Andra, agence nationale qui a pour mission de gérer à long terme les déchets radioactifs produits en France.
- Selon RTE, la consommation d’électricité va passer de 25 % de la consommation totale d’énergie à 55 % en 2050.
- 53 % des Français considèrent que le nucléaire est essentiel pour l’indépendance énergétique de la France (source : enquête BVA/Orano - mai 2021)
- La part de l’électricité nationale d’origine nucléaire est de 67,1 % en France.
- La France compte 56 réacteurs nucléaires. Les États-Unis 96. La Chine possède le plus grand nombre de réacteurs en cours de construction : 12.
- L’impact radioactif des sites industriels d’Orano est plus de 100 fois inférieur à la radioactivité naturelle
