Le Tribunal Administratif de Montpellier rejette les 5 recours examinés à l’audience du 1er octobre à l’encontre des projets du site de Malvési
Le Tribunal Administratif de Montpellier a prononcé le 15 octobre 2019 le rejet des 5 recours portés par les associations Rubresus/COLERE et TCNA à l’encontre des projets industriels engagés par le site Orano Malvési et examinés lors de l’audience du 1er octobre dernier. Ces recours portaient notamment sur :
• les autorisations administratives délivrées par la préfecture de l’Aude ainsi que le permis de construire accordé par la mairie de Narbonne pour l’exploitation du futur atelier de Traitement des Nitrates (TDN)
• le processus réglementaire instruit par la Préfecture de l’Aude autorisant le projet PERLE/CERS destiné à sécuriser l’entreposage de résidus de procédé du site de Malvési.
Orano est satisfait de cette décision qui conforte le bien-fondé et le sérieux des projets portés par le site de Malvési. La qualité des dossiers, en particulier celui de TDN avait déjà été confirmé en 2017 par les deux tierces expertises indépendantes mandatées par le préfet de l’Aude.
Tout au long de l’instruction des dossiers par les autorités puis par la justice, Orano Malvési s’est toujours attaché à rappeler l’absence d’impact sanitaire de l’ensemble de ses projets qui comportent tous un volet destiné à réduire l’empreinte environnementale du site.
• les autorisations administratives délivrées par la préfecture de l’Aude ainsi que le permis de construire accordé par la mairie de Narbonne pour l’exploitation du futur atelier de Traitement des Nitrates (TDN)
• le processus réglementaire instruit par la Préfecture de l’Aude autorisant le projet PERLE/CERS destiné à sécuriser l’entreposage de résidus de procédé du site de Malvési.
Orano est satisfait de cette décision qui conforte le bien-fondé et le sérieux des projets portés par le site de Malvési. La qualité des dossiers, en particulier celui de TDN avait déjà été confirmé en 2017 par les deux tierces expertises indépendantes mandatées par le préfet de l’Aude.
Tout au long de l’instruction des dossiers par les autorités puis par la justice, Orano Malvési s’est toujours attaché à rappeler l’absence d’impact sanitaire de l’ensemble de ses projets qui comportent tous un volet destiné à réduire l’empreinte environnementale du site.