Le 15 septembre, lors d’une opération de contrôle interne de fûts de déchets industriels, avant transfert vers une filière agréée, un écart a été identifié sur 3 fûts. Ces fûts contiennent des résines de filtration utilisées dans un des ateliers de conversion de l’uranium arrêté en 2008.
Les analyses réalisées confirment la présence de déchets uranifères à une isotopie supérieure à 1 %, ce qui constitue une non-conformité vis-à-vis des règles d’exploitation de cette aire d’entreposage, limitées à 1 %. Dès détection, les équipes d’exploitation ont mis en place des dispositions complémentaires, jusqu’à la remise en conformité de l’entreposage.
L’exploitant a proposé à l’Autorité de sûreté de classer cette non-conformité, sans conséquence sur le personnel et l’environnement, au niveau 1 de l’échelle internationale des événements nucléaires (INES) graduée jusqu’à 7.