
Chaque année, la Fondation Georges Besse distingue de jeunes étudiants scientifiques méritants, souvent confrontés à des difficultés matérielles. Objectif : leur offrir un coup de pouce financier et humain pour poursuivre leurs études dans les meilleures conditions.
En 2025, 24 nouveaux lauréats rejoignent ainsi une communauté soudée de bénéficiaires et d’anciens étudiants.
Votre présence ici illustre votre persévérance et votre excellence. Chacune de vos réussites réaffirme la mission de la Fondation : accompagner chaque année de nouveaux talents qui veulent contribuer au progrès scientifique et technologique.
Claude Imauven, président de la Fondation et président du Conseil d’administration d’Orano
La Fondation a été créée en mémoire de Georges Besse par des proches et des responsables d’entreprises ayant travaillé avec lui, dans le but de soutenir des étudiants scientifiques prometteurs. Ingénieur et dirigeant industriel, pionnier du programme nucléaire en France, Georges Besse a dirigé COGEMA (Compagnie générale des matières nucléaires) de 1976 à 1982, transformant l’entreprise en acteur majeur du cycle du combustible nucléaire. Aujourd’hui, COGEMA est devenue Orano, qui poursuit son activité dans le nucléaire civil et perpétue son engagement envers la Fondation.
Depuis sa création en 1987, la Fondation Georges Besse a soutenu plus de 800 jeunes, de la terminale jusqu’aux écoles d’ingénieurs. Elle favorise une grande diversité : près de la moitié
des lauréats sont étrangers et un tiers sont des femmes. Les bourses attribuées varient entre 1 000 et 6 000 €, et plusieurs anciens lauréats participent aujourd’hui à des projets Orano.
Chaque année, la Fondation offre :
Orano soutient la Fondation, tant financièrement que dans sa gouvernance (conseil d’administration, comité de sélection, comité financier).
Former les ingénieurs de demain, c’est assurer la pérennité et la compétitivité de notre industrie, mais aussi contribuer à l’innovation et à la réussite collective d’un secteur essentiel à la transition énergétique et à la souveraineté du pays.
Nicolas Maes, directeur général d’Orano